DEMAIN J'ARRETE... mais moi je continue
Certainement vous avez dû apercevoir un des livres de Gilles Legardinier. Comme moi vous êtes passé devant... m'ouais, ça n'a pas l'air très sérieux tout ça, je préfère un bon bouquin littéraire qui va me plomber la tête ;-) Mais le livre revient, une copine qui m'en parle et du coup je me décide ; j'achète les deux premiers livres, et je commence
Demain j'arrête : En trois pages vous êtes au jus, en dix c'est la douche et en cinquante on baigne dans les rires et les larmes. Car quand même, l'auteur réussi la prouesse de nous faire rire ou sourire jusqu'à la fin. Et qu'importe les situations loufoques ou agaçantes, les personnages un rien déjantés ou mystérieux.. on passe un très très bon moment avec ce petit livre, 400 pages quand même. Il va s'en dire, que dans le contexte morose (ou alors c'est moi) actuel, comme il est bon de pleurer un peu... de rire. J'ai beaucoup aimé la voix OFF, celle de la fille qui Pense avant de Parler... Que du bonheur, du rire, il en faut... je me répète ? Ah oui mais ne faites pas comme moi, lisez-le dès maintenant, c'est une vraie bouffée d'oxygène.
Je me demande quand même, puisque l'héroïne est une femme, et que tout est dans les analyses, sentiments, ressentiments typiquement féminins avouons-le, qui a réellement écrit ce livre, monsieur GIlles ? Vous ou votre femme?
Complètement cramé : Des personnages et un contexte complètement différents, nous voilà plongé cette fois dans une grande maison bourgeoise française, avec un faux majordome anglais, mais qui a tout d'un vrai. Oui Andrew Blake a tout plaqué dans son pays pour tenter une petite aventure ? Expérience ? Quoiqu'il en soit, on se doute que tout ne va pas rouler tout seul pour Blake. Et même si je ne peux pas dire que j'ai vraiment ris, en tout cas j'ai beaucoup souris et les relations entre les personnages sont plaisantes, et une petite intrigue dont on veut connaître l'aboutissant -si on ne le devine pas ; m'enfin moi je n'ai jamais été un Sherlock Holmes. Encore un bon moment, plus masculin toutefois ; est-ce pour cela que j'ai été moins sensible à l'humour. Non mais lisez-le quand même, c'est très relaxant.
Auteur : Gilles Legardinier (1965)
Du même auteur, mais je ne les ai pas -encore- lu