LA BETE ET LE BETE, remake de l'Affaire Cinton
Ce qui me gêne dans ce genre de livre, raison pour laquelle je ne le lirais pas, c'est la motivation réelle des personnes qui les écrivent, des gens qui les éditent et de ceux qui laissent faire alors qu'on pourrait faire le tri. Car non, même au nom de la liberté d'expression tout n'est pas permis !
Il faut croire que les scandales de cul et autres dépravations de nos VIP, dont je me passerai de faire la liste ici, semblent rendre service aux plus hautes instances de notre pays ; c'est sûr qu'en nous assommant de niaiseries, et d'autres choses d'autant plus malsaines et troubles qu'elles occupent facilement les petits esprits, il est plus facile de détourner les gens des véritables problèmes et sujets importants qui font avancer le pays. Mais avec un remake de l'affaire Clinton, qui a ridiculisé et rabaisser un pauvre pantin (ainsi que sa femme et sa fille) sommes toutes comme tous les autres hommes, un chien, un cochon (peut-être parfois) même si vous voulez.. l'Etat français qui laisse dire ce genre de calomnies, y trouve bien son compte. Et la honte elle est là.
Et qui que soient ces hommes-cochons, en tout cas ils sont peut-être stupides dans leur comportement bestial (mais on le sait les hommes sont comme ça) c'est vrai, mais que dire de celles par qui le scandale est arrivé.. preuves à l'appui ; car je le dis, quelle femme amoureuse garderait des pièces à conviction du forfait au cas ou...?
Quant à Marcela Lacub (tout comme Monica Lewinsky) que je cite : "Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n'avais aucune culture. Et j'ai été folle de toi. Non pas qu'il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j'ai éprouvés. C'est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j'aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n'ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc.",
j'ai bien envie de lui répondre : Qui se ressemble s'assemble !